Extension des obligations vaccinales
Texte de M. Georget
remis avec son livre "Vaccinations, les vérités indésirables"
lors de l'entrevue au ministère de la Santé le samedi 9 septembre 2017,
Quelques vérités qui devraient ouvrir la voie à la liberté vaccinale
Considérations juridiques
- avec les articles du code civil : 16-1 (le corps humain est inviolable), 16-3 (il ne peut être porté atteinte à l'intégrité du corps humain qu'en cas de nécessité médicale pour la personne. Le consentement de l'intéressé doit être recueilli préalablement) et 16-4 (nul ne peut porter atteinte à l'intégrité de l'espèce humaine) ; |
Considérations scientifiques Le système HLA fait de nous des individus tous différents Nos capacités de défense sont inégales. Elles dépendent de notre identité biologique qui repose sur le système HLA, système qu’il faut harmoniser entre donneur et receveur, lors des greffes d’organe pour éviter la réaction de rejet.
La réponse du système immunitaire aux antigènes, qu'ils soient sauvages ou vaccinaux, repose sur l'activité des lymphocytes sous le contrôle du système HLA et ceci à deux niveaux : Cette réalité biologique explique que tous les individus ne sont pas affectés lors d'une épidémie et, sur le plan vaccinal, le fait qu'il y ait des bons, moyens, mauvais, voire non-répondeurs. Les vaccins, qui sont des produits standard, ne peuvent pas entraîner des réponses stéréotypées chez des individus qui sont tous génétiquement différents (vrais jumeaux mis à part). C'est ce qui avait conduit le Professeur Dausset (Prix Nobel de médecine précisément pour ses travaux sur le système HLA) à déclarer lors d'une conférence donnée à Montréal en octobre 1980 : « La vaccination des enfants contre toute une série de maladies pourrait bientôt être une pratique du passé. » Il est en effet illusoire de penser qu'un sujet vacciné est systématiquement un sujet immunisé.
Quelques exemples : Les vaccins sont insuffisamment évalués
Dans le cas des médicaments, ces recherches ont pour but d'étudier le devenir dans l'organisme des substances injectées ou ingérées : distribution dans le corps, transformation, excrétion. Or, ces études ne sont pas requises dans le cas des vaccins. Si elles avaient été réalisées pour l'aluminium contenu dans la plupart des vaccins, on aurait pu savoir, avant leur mise sur le marché, qu'il peut rester longtemps au site d'injection, être transporté dans l'organisme, se fixer dans certains tissus, notamment dans le cerveau après avoir traversé la barrière hémato-encéphalique.
C'est particulièrement aberrant quand on se rappelle notamment la contamination des vaccins polio par le virus cancérigène SV40, virus que l'on retrouve maintenant dans de nombreux cancers, notamment des mésothéliomes et des ostéosarcomes.
N'aurait-il pas été indispensable également de conduire de telles études pour le vaccin Gardasil® destiné à protéger les voies génitales des femmes contre les papillomavirus sachant que
La comparaison entre un groupe vacciné et un groupe placebo est très importante pour déceler les effets indésirables. Malheureusement le groupe placebo n'en est pas un ; il ne reçoit jamais du liquide physiologique (solution saline) qui serait effectivement neutre mais une solution contenant tous les ingrédients du vaccin (adjuvant, conservateur, stabilisateur) à l'exception des antigènes. Ou bien le vaccin est testé en le comparant à un vaccin dont on connaît déjà les effets indésirables. Si le nouveau vaccin n'en provoque pas davantage, il sera considéré comme bien toléré ce qui ne serait peut-être pas le cas s'il était comparé à l'injection d'un liquide physiologique.
L'autorisation de mise sur le marché d'un vaccin est donnée sur présentation d'un dossier. Dans le cas du vaccin combiné ROR, l'autorisation de mise sur le marché a été donnée sur présentation du dossier d'AMM de chacun des 3 vaccins monovalents (pour rougeole, oreillons et rubéole), mais il n'y a pas eu d'essais préalables avec le trivalent ! Les vaccins peuvent entraîner des maladies auto-immunes Si l'on en croit le Pr Hanslik « De multiples cas de maladies immunologiques déclenchées par la vaccination sont rapportés dans la littérature, impliquant surtout les vaccins de la grippe et de l'hépatite B, mais aussi du tétanos ou d'autres vaccins. […] Devant une maladie immunologique, l'enquête étiologique doit systématiquement rechercher l'administration d'un vaccin dans le mois précédent le début des troubles (Revue de Médecine interne, 1996, 17 : 17-20). » Une maladie auto-immune est particulièrement inquiétante : le diabète juvénile insulinodépendant. Pendant dix ans (1988-1997), un registre a été consacré au recueil de l'incidence des nouveaux cas de DID. Pendant cette période, l'augmentation de cette incidence a été de 29 % pour les moins de 20 ans et de 79 % pour les enfants de 0 à 4 ans (BEH n° 44-45/2007), cette augmentation au cours du temps s'accélérant chez les plus jeunes. Le même phénomène a été observé en Finlande et les observateurs soupçonnent clairement la responsabilité de la composante oreillons du vaccin ROR. Les cas de maladies auto-immunes, notamment neurologiques, enregistrés dans les suites de la vaccination anti-hépatite B sont également nombreux : SLA et SEP pour ne citer que les plus connues. Les vaccins sont potentiellement contaminés Ce problème concerne surtout les vaccins antiviraux qui nécessitent des cultures cellulaires, souvent de lignées continues, qui présentent des caractères de cellules cancéreuses. Ces cultures peuvent être contaminées par des protéines cancérigènes, des virus et de l'ADN. Ces contaminations sont connues depuis longtemps, au point que l'OMS a réuni en 1986 un comité d'experts pour en étudier les risques dans la fabrication de produits biologiques dont les vaccins.
Les exemples sont nombreux de ces contaminations par des virus : Quant aux contaminations par de l'ADN, elles sont préoccupantes car l'ADN ayant une structure universelle, les fragments qui contaminent les vaccins peuvent s'intégrer dans notre ADN, y perturber le fonctionnement des gènes et conduire à des cancers. Les vaccins modifient l'équilibre écologique des pathogènes Lorsque les pathogènes présentent plusieurs sérotypes, la pression vaccinale modifie leur équilibre et les souches visées par le vaccin sont remplacées par d'autres souches tout aussi menaçantes. C'est une perpétuelle fuite en avant. C'est le cas par exemple des pneumocoques, des méningocoques, et des papillomavirus. Les vaccins déplacent l'âge de survenue des maladies infantiles Les maladies surviennent vers des âges où elles sont plus dangereuses : nourrissons (que l'on ne peut encore vacciner) et adultes. C'est le cas typique de la rougeole.
TOUT BIEN CONSIDÉRÉ, LA BALANCE BÉNÉFICE / RISQUES EST-ELLE AUSSI POSITIVE QU'ON LE DIT ?
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Lettre ouverte à Madame Agnès Buzyn
Ministre des Solidarités et de la Santé
Madame Agnès Buzyn Ministère des Solidarités et de la Santé 75350 PARIS SP |
16 juin 2017 Madame le Ministre, La publication de votre entretien avec les journalistes du quotidien Le Parisien concernant votre projet de rendre onze vaccins obligatoires a provoqué la stupéfaction et l’indignation des membres de notre association qui réclame la liberté vaccinale depuis plus de 60 ans. Vous faites part de votre inquiétude face aux nombreux cas de rougeole, et aux 10 décès (en majorité dans un contexte de co-morbidité) consécutifs depuis 2008, situation qui serait due à l’insuffisance de la couverture vaccinale, alors qu’elle n’a jamais été aussi élevée dans notre pays. En effet, selon l’Institut National de Veille Sanitaire (InVS), la couverture vaccinale à l’âge de 24 mois pour le ROR est passée de 89,2 % avec 1 dose et 60,9 % avec 2 doses en 2010, à 90,5 % avec 1 dose et 78,8 % avec 2 doses en 2015. En ce qui concerne la vaccination contre la rougeole seule (incluant Rouvax® et les vaccins ROR), la couverture vaccinale en grande section de maternelle (5-6 ans) est passée en dix ans (pour les années scolaires de 2002-2003 à 2012-2013) de 93,2 % à 96,4 % avec 1 dose, et de 28,1 % à 83,2 % avec 2 doses. Les taux que vous indiquez sont donc nettement dépassés et en constante augmentation. |
Si réellement les cas de rougeole ont augmenté alors que la couverture vaccinale n'a cessé de croître, c'est peut-être qu'il existe un autre problème qu'il serait trop délicat de soulever. Nous constatons du reste, toujours d’après les mêmes sources officielles, que pour tous les vaccins obligatoires ou recommandés la situation est comparable et que, malgré les 41 % de Français exprimant une certaine méfiance vis-à-vis des vaccins dans une récente enquête, la population de notre pays n’a jamais été aussi vaccinée. La Société Française de Santé Publique, dans son avis du 26 décembre 2016, propose une autre solution pour améliorer encore la couverture vaccinale sans pour autant utiliser la contrainte (cf. annexe ci-dessous). Augmenter le nombre de vaccins obligatoires n’apportera rien à la santé publique en matière de maladies infectieuses ; en revanche, vous prendriez une lourde responsabilité dans l'augmentation des cas d'effets indésirables, d’accidents post-vaccinaux, de maladies dégénératives, etc. Vous ne pouvez ignorer qu'un acte médical, quel qu'il soit, doit être individualisé, et que chaque enfant réagit différemment à chaque vaccin, les facteurs en jeu étant nombreux (terrain atopique éventuel, système HLA, etc.). Le principe de vaccination de masse n'en tient déjà pas compte, et multiplier pour tous le nombre d'antigènes multiplierait aussi les risques. Vous admettez que le double système « vaccins obligatoires + vaccins recommandés » n’est pas réaliste, mais vous dites que c’est une exception française, ce qui n’est pas tout à fait exact puisque plusieurs pays d’Europe occidentale ont au moins une obligation vaccinale et de nombreuses recommandations. Toutefois la plupart des pays dont la situation sanitaire est comparable à celle de la France ont une excellente couverture vaccinale tout en se limitant à des recommandations, sans la moindre obligation, et bien sûr sans la moindre sanction pénale. Seule l’Italie vient de promulguer un décret-loi imposant brutalement 12 vaccins obligatoires pour la fréquentation scolaire, ce qui n’a pas manqué de provoquer une vague de stupeur et de protestations dans le pays même et dans le monde entier. Par ailleurs, en mai dernier le Parlement suédois a déclaré anticonstitutionnelle toute obligation vaccinale, et début juin le Bundestag a repoussé une proposition de loi tendant à rendre obligatoire le vaccin ROR. Il nous semble impensable que la France suive l’exemple d’un pays dont un ancien ministre de la santé, Monsieur Francesco de Lorenzo (et nombre de ses collaborateurs), fut sévèrement condamné pour corruption de la part d’un laboratoire producteur de vaccins ; d’un pays dont l’indice de perception de la corruption élaboré par l’ONG Transparency International est l’un des plus catastrophiques d’Europe, alors que Suède et Allemagne font figure d’excellents élèves ; le nouveau gouvernement français, avec le louable projet de loi sur la moralisation de la vie publique, ne peut que s’inspirer de leur exemple. La Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations revendique la liberté de choix pour tous après une information complète et objective, conformément à la loi dite « Kouchner » du 4 mars 2002.
Confiants dans votre lucidité et votre compétence,
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- Avis de la SFSP concernant les recommandations du Comité d'Orientation de la concertation citoyenne sur la Vaccination
http://www.sfsp.fr/flash_email/index.php?cid=512
« La SFSP considère, comme la Conférence Nationale de Santé, qu'il est nécessaire de s’engager résolument vers la levée de l’obligation vaccinale et de permettre à l'usager de prendre et d'exercer toutes ses responsabilités. Cela aurait de plus l'avantage de faire progresser l'harmonisation des pratiques vaccinales au sein de l'Europe.
Pour cela, elle appelle sans délai :
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à proposer une liste de vaccinations indispensables ;
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à assurer leur gratuité sans avance de frais ;
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à renforcer le plaidoyer en faveur des vaccinations auprès du grand public en l’adaptant aux freins et leviers spécifiques aux groupes les plus difficiles à rejoindre ;
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à compléter ce plaidoyer par des campagnes régulières auprès des professionnels ;
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à généraliser et rendre obligatoire l'utilisation des carnets de vaccination électroniques en expérimentation permettant de suivre les couvertures vaccinales ;
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à élargir la liste des professionnels de santé à même d'assurer des vaccinations ;
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à mobiliser les professionnels de santé pour qu’ils soient exemplaires en matière de leur propre couverture vaccinale. Le cas échéant trouver des mécanismes incitatifs à définir.
La levée de l’obligation vaccinale comporte des risques en matière de couverture pour les trois vaccins actuellement concernés par l'obligation, mais étendre l’obligation peut transformer des hésitants en opposants.
Disposer d'un outil de suivi de la couverture vaccinale permet aux pouvoirs publics d'intervenir en cas de sous vaccination ou d'épidémie en imposant ponctuellement une obligation du fait d'une situation sanitaire exceptionnelle. »
- Données Rougeole
- Données autres vaccins obligatoires ou recommandés
- Transparency International
https://www.transparency.org/news/feature/corruption_perceptions_index_2016#table