Tout d’abord, il y a quelques bonnes nouvelles "du front".
La progression de la révision du Règlement sanitaire international semble avoir pris un sérieux coup de frein (conférence ici, j’en parlerai en détail dans le prochain article).
Est-ce l’effet du lobbying intensif mené par des activistes issus des 4 coins de la planète? C’est bien possible et c’est en tous cas un motif qui doit inciter à poursuivre le travail de résistance sur ce sujet crucial.
Autre bonne surprise, le New York Times a saisi la justice européenne pour obtenir la publication des échanges privés par Whatsap entre Ursula von der Leyen et Albert Bourla concernant l’achat des vaccins Pfizer pour l’Europe. De toute évidence, une collaboration entre la résistance des deux côtés de l’Atlantique est en cours…
Par ailleurs, cela bouge aussi dans certains états de l’Union. En Belgique, la réunion du 4 février au conseil de l’ordre des médecins a porté ses fruits.
L’on n’y parle plus d’obligations vaccinales pour les soignants. Et d’après plusieurs personnes dans la salle, le ‘narratif’ Covid se fissure en Allemagne, car la presse mainstream commence à publier des articles sur les effets secondaires.
En France comme au Luxembourg, malgré l’attitude obstinée des gouvernements, ‘on ne lâche rien’.
De nombreuses actions se préparent, les livres des ‘héros de la résistance’ sont partout et les médias subventionnés peinent à garder leur crédibilité. Si l’Allemagne tombe, la France aura du mal à maintenir la façade.
Certes, tout cela n’aurait jamais dû arriver et l’on est loin d’avoir gagné la partie. Les soignants sont toujours suspendus et l’ampleur des dommages vaccinaux se révèle chaque jour un peu plus, de manière inexorable.
Les témoignages des victimes, comme Christophe, tellement mal en point qu’il n’a pu que se montrer en silence, nous le rappellent sans cesse.
Soigner les victimes du ‘Covid long’, ou plutôt de la vaccination, devient prioritaire. On ne célèbrera donc pas de victoire, mais on peut tout de même se dire que des avancées sont possibles et que cela vaut la peine de persévérer.
Senta, Corinne Lalo, Xavier Azalbert, 3 journalistes libres et engagés :)
Outre ce mini-point sur la situation actuelle, j’ai trouvé que ce week-end de conférences était aussi l’occasion prendre le pouls de notre vie sociale, et d’accueillir un certain esprit au sein de la résistance.
Car, j’ai été positivement étonnée par le climat de bonne volonté, d’ouverture et de respect mutuel, qui a régné lors de ces deux journées.
Ce sont peut-être des mots qui paraissent galvaudés, mais lorsque nous les faisons exister, lorsque nous les mettons à l’épreuve, nous entrevoyons la puissance réelle de ces valeurs.
Et dans le contexte actuel, c’est essentiel. Le fait que parmi ceux qui s’opposent à la pensée unique du Covid, il y ait un clivage assez marqué sur de nombreux sujets fondamentaux, est désormais notoire.
Tout le monde n’est pas d’accord sur la ‘vérité scientifique’, ni sur l’existence d’un plan machiavélique pour soumettre l’humanité, ni sur la pertinence des actions à entreprendre.
Par conséquent, certains finissent par adopter les attitudes dogmatiques et intolérantes qu’ils combattent, dans l’espoir de convaincre un public toujours plus large ou de ‘remporter la victoire’.
Je pense par exemple à la manière abominable dont le Dr. Ryan Cole est venu interrompre la présentation d’Astrid Stuckelberger lors d’une conférence à Stockholm le 22 janvier, sous prétexte qu’il n’est pas acceptable d’un point de vue scientifique d’évoquer la présence de graphène dans les vaccins Covid.
Que l’on aille jusqu’à interrompre sa présentation et lui couper son micro dépasse les bornes et démontre la violence dans laquelle tombent ceux qui se laissent prendre aux ‘combats des chefs’.
Au lieu de ‘renforcer’ une adhésion commune, cela crée un sentiment de distanciation, de séparation. Si les censurés censurent à leur tour, c’est qu’ils n’ont rien compris.
J’aurai voulu que tout ce monde soit présent à Luxembourg ce week-end ! Pour ma part, j’ai adoré l’ambiance des tables rondes et l’interaction avec le public.
Le panel des journalistes auquel j’ai participé, m’a semblé un exemple de fluidité et de complémentarité entre intervenants.
Par contre, d’autres discussions ont révélé des points de désaccords et provoqué nombre de commentaires, tant sur la scène que dans la salle.
Finalement, tout ce qui dérange a été évoqué : le graphène, l’existence des virus, la 5G, l’utilité des ‘anciens vaccins’, le réchauffement climatique, la manipulation des vote. Sans doute fallait-il que tout cela ‘sorte’.
J’ai apprécié le fait que le Professeur Perronne s’excuse d’avoir signé une pétition en faveur des 11 vaccins obligatoires en France et qu’il soit même prêt à revoir ses positions sur leur sécurité, maintenant que l’on ne peut plus faire confiance au cartel de la vaccination.
J’ai aussi beaucoup aimé les interventions de la journaliste Corinne Lalo qui n’a pas hésité à exprimer clairement ses divergences d’opinion avec l’eurodéputée Michèle Rivasi sur les questions européennes, malgré une amitié de longue date.
En réponse aux immanquables questions sur l’existence des virus, elle a aussi très justement rappelé qu’il est légitime de douter de tout, dans un contexte où toutes les autorités mentent, semaine après semaine.
Vers la fin de la journée, un monsieur dans la salle s’est emporté en prétendant qu’on le censurait parce qu’on ne lui donnait pas la parole, ce qui a provoqué l’énervement d’un orateur.
Heureusement grâce à la modération habile de Cecile Maichak (Doctothon) et à l’esprit ‘de bonne volonté’ qui nous animait, il s’est rapidement calmé et s’est exprimé avec clarté. Chose remarquable, l’orateur énervé lui a présenté ses excuses et finalement les deux se retrouveront lors d’une prochaine conférence.
Enfin, je ne peux pas m’empêcher d’évoquer le délicieux moment lors de la table ronde intitulée ‘serment d’Hipocrate ou obéissance’ où le
Dr. Blum a demandé au public d’arrêter d’applaudir à chaque intervention (un peu de sérieux voyons !).
La salle lui a immédiatement montré un bel exemple de désobéissance en redoublant les bravos. On a tous bien rigolé.
En y repensant, je me suis dit que quelque chose avait changé en deux ans. Le public n’est plus là pour applaudir les savants en attendant qu’on l’abreuve d’une nouvelle vérité.
‘Mr. Tout le monde’ a lu, écouté, s’est documenté sur tout. Idem du côté des ‘experts’.
Chacun a élargi son champ de questionnement et sa compréhension des choses. Nous avons à présent un nombre de constats en commun, mais aussi beaucoup de nouvelles questions et nettement moins de certitudes.
En soi, c’est une très bonne chose, car c’est avec cette conscience plus riche et un brin d’humilité que nous pouvons enfin progresser ensemble pour défendre les libertés qui nous sont si chères.
Un tout grand merci au collectif Frailiewen, à ses organisateurs et à son armée de formidable bénévoles.
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Vidéos de la conférence sur Revivance media https://www.facebook.com/MediaRevivance/videos/?ref=page_internal
